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L’Algérie on n’en guérit jamais
(Albert Camus)
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1er novembre 2010 à partir de 9 heures
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LIVRES 1 2 3 NOUVEAU Un jeune homme d’honneur de Claude Nalnouveraux articles et écrits recommandés dans la marge de droite —>
En un siècle, à force de bras, les colons ont, d’un marécage infernal, mitonné un paradis lumineux. Seul l’amour pouvait oser pareil défi. Quarante ans est un temps honnête, ce nous semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous qui sommes ses enfants“
Boualam Sansal * extrait de onpourraitfaireaujourd.doc Alger
Merci Mdame pour votre message. Mon arrière grand mère s’appelait SOLVES Marie, née le 18 Juin 1874 de SOLVES Juan et de MULET Antonia, couple vraisemblablement marié en Espagne qui a émigré en Algerie.
Je vous remercie infiniment pour ce que vous faites.
Bonjour Josette,
je reviens vous rendre visite et une fois encore je suis boulversée par ces images qui me submergent, je ne peux que vous dire bravo pour votre courage a dire la vérité sur notre sort, ne parlons pas des répercutions certaines que cela a eu sur nos vies et celles de nos enfants qui même involontairement en subissent le contre coup
Avec tout mon respect,
Monique
Bonjour josette,
Je reviens une fois encore lire tes nouveautés.
Merci de ton courage a dire la vérité sur ce que fut notre sort, et sans que cela soit palpable, sa répercusion sur nous et nos enfants, même involontairement
Avec tout mon respect
Monique
j’ai été votre élève durant les années 50 à l’école Paul Bert de Carteaux. Sachez Madame que je vous admire toujours pour ce que vous nous avez enseigné à cette époque. Et je me souviendrais de vous encore. Dernièrement (cela fait presque 02 ans) je vous ai transmis une lettre par l’intermédiaire des Français qui habitaient le quartier et qui ont visité cette école, et je m’attendais à une modeste réponse de votre part. Hélas. Ce n’est que par pure coincidence que j’ai lu ce site, et me suis empressé quand même pour vous annoncer que mon admiration pour vous est toujours la même. C’est-à-dire que vous étiez admirable pendant ces annèes là. Je serais très enchanté de vous revoir.
nous les arabes les vrai algérien on était traitait mal pandend que vous,vous étiez au paradi dans notre pay a vos yeux on était des moin que rien on vivait dans des gourbi pour vous c,était la belle vie allort qu,ont devrait avoir les même droit que vous javais 10 ans en 1962 mai mes parents étaient dans la misére totale ils navaient même pas le drois a la scolarité c,était des étranger qui ocupé notre pays c,était même pas les français
A mr Diamouni……votre récit des faits est tout a fait exact, j’ai 73 ans, a l’époque…1956-1958, j’avais 21 ans, appelé du contingent, et j’ai pu voir dans les « mechta » que nous avons renconté ca et la,dans le bled, l’état de vie désastreuse dans lequel vous viviez. Cet état de fait n’était pas la cause des pieds noirs….espagnols,italiens,grecs, et autres nationalités…mais bien la faute des gouvernements de cette époque, jusqu’en 1958, année de la venue de Degaulle? qui a berné ces PN pour arriver au pouvoir.J’ai des photos de cette époque. Ceci pour vous dire que la traitrise était partout.
Bonsoir Josette, je vous lit déjà dans la « familia » mais je ne connaisais pas votre blog. Bravo et merci pour vos nouvelles, vos très belles photos qui nous rappelent tant de souvenirs. On parle beaucoup du 5 Juillet actuellement, j’y étais, et j’ai eu la chance d’échapper à la tuerie. je me souviendrai toujours de ce jour maudit. Bien amicalement. Roland
Josette bonsoir,
tu as su créer un site merveilleux d’infos, de photos, je ne le visite pas aussi souvent qu’il le faudrait, mais je peux te dire qu’il es super. Je me régale rien qu’à le regarder et le lire, le consulter.
Et de plus mis à la liberté de chacun voilà ce qui est d’une belle tolérance. Un grand merci pour tout ce que tu fais.
Danièle /mamie bleue
Bonjour
Je suis Pieds noir et je voudrai savoir si vous pouvez m’aidez à faire connaître mon roman.
Je vous joins la première page et le 4eme de couverture
Merci par avance
Pour se procurer le livre :
Pas-a-pas@club-internet.fr
Patrick HIERARD
Quand je serai grand, je ferai Berbère
Éditions du Masque d’Or
COLLECTION PAROLES D’HOMMES
Laissez vous entraîner par la saga de Maurice, l’orphelin de Lorraine, qui débarque au Maroc en 1926 pour y mater la révolte des tribus d’Abdel Krim, mais Maurice déteste cette guerre coloniale.
Suivez-le quand il s’opposera à l’armée américaine de Patton qui débarque au Maroc pendant la Seconde Guerre mondiale.
Il aime passionnément le Maroc, mais Maurice sera pris dans la tourmente de ce pays qui cherche son indépendance. Meurtres sauvages d’Européens, réponse tribale de l’armée française et c’est l’engrenage dramatique. Il échappera à des attentats, il ne vivra plus qu’avec son revolver et sa grenade dans la poche.
Le calme revient, Maurice trouve sa voix au Sud marocain en aidant les fellahs à développer leur agriculture, il est aimé et respecté, Maurice c’est sur mourra au Maroc.
1965, le retour mystérieux vers la France : il découvre l’affreux nom de « Rapatriés », il est un étranger dans son propre pays, il souffre et sa famille aussi. C’est alors la longue adaptation à son nouveau pays. Maurice à 60 ans
toi diamouni,tu ferais mieux de fermer ta gueule car moi je communique avec un des enfants d’un des ouviers de mon père et eux pleurent tous que l’on soit parti.Je suis allé personnellement à l’école communale avec des arabes de ma commune.Maintenant je peux te faire voir trois photos d’une des fermes de mon père avant l’indépendance et après et tu verras ce qu’il en reste.Mon père était peut être l’un des rares qui payait bien ses ouvriers,mais de notre temps j’ai aussi connu des patrons arabes qui payaient leurs ouvriers avec un pain de deux kilos par jour avec une boite de chik et celui qui n’était pas content recevait deux coups de trique sur les reins.
Bonjour M’dame,
Merci pour l’article de la Pastorale et les videos!
J’ai aussi ouvert un blog o l’on peut voir cette Pastorale en trois parties seulement au lieu des nombreuses sur Youtube!
Il y a aussi le diaporama de la Passion!
Voici le lien:
http://joyeuseunion.over-blog.com/
Bisous
Antoine
Bonjour M’dame,
c’est avec toujours autant de plaisir que je viens et reviens » rendre visite » à votre blog !
Toujours une longue hésitation avant de la faire sachant que pris par la soif de savoir encore plus…..ce sera beaucoup de temps a vous consacrer et vous savez bien que nous, les retraités, nous manqons de temps pour tout faire.
Beaucoup de nouveautés depuis mon dernier passage, je constate que vous êtes vraiment sur tous les » coups » et que si une info nous manque, et quelque soit le sujet, il suffit de passer par votre blog.
Comme j’ai aussi la chance d’avoir parmi mes amis certains de vos élèves ( j’allais écrire « anciens » )tous toujours aussi dynamiques, c’est souvent que nous parlons de vous, ils sont tous dithyranbiques.
J’aurais bien voulu aussi faire partie de vos élèves mais, à la réflexion, tout en leur disant M’SIEU …
ils avaient pour nom Vicente, Llobrégat, Tisano, et eux non plus, nous les Marinéros ne les avons pas oubliés. D’autres ont consacré leur vie à notre jeunesse, Tricot, Théodore, Perrin,Santonja, c’était une autre école que nous n’oublions pas non plus,celle des Salésiens, et ells se complétaient si bien !
Voilà, je replonge dans ma lecture, à trés bientôt
Guy Montaner
Je pense que vous ne parlez jamais des militaires appelés, qui pour les derniers sont revenus en février 1968, oui j’ai bien dit 1968. Un certain nombre dont je fais partie ce sont marié avec des jeunes filles d’algérie « pieds noirs » comme on dit la mienne d’épouse a les pieds blanc!!! pour ma part je suis revenu en decmbre 1964, et il restait encore des Français et des Espagnols.
Bonjour,
L’article sur ces militaires est quasiment prêt il ne manque que quelques images pour l’ illustrer ,images qui viennent de me parvenir à foison, je trie en ce moment.
M’dame
Je viens de parcourir votre blog, et je suis étonné de lire le mépris de l’arabe et de l’indigène qui transparait, c’est révélateur…