GAZETTE de LA-BAS

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L’Histoire de l’esclavage enseignée à l’école

Classé dans : esclavage — 7 mars, 2009 @ 23:44

La traite des Noirs, l’esclavage que la France, comme nombre de nations européennes, a pratiqué durant des siècles , figurera au programme des élèves d’école primaire dès la rentrée prochaine. (…)

 «Cette histoire doit être inscrite dans les manuels scolaires afin que nos enfants puissent comprendre ce qu’a été l’esclavage, puissent mesurer les souffrances que l’esclavage a engendrées, les blessures qu’il a laissées dans l’âme», a expliqué le chef de l’Etat.

Cela ne souffre aucune contestation : il est grand temps !… mais…

« Le président de la République annonce que l’on va enseigner l’histoire de l’esclavage dans les écoles de France. Louable initiative, puisque l’Histoire est la chose du monde la moins enseignée, avec l’orthographe.

 Mais il y a un hic : ce que l’on va enseigner, c’est la coupable histoire des négriers européens, français surtout, dans le commerce atlantique du bois d’ébène. Or l’histoire de l’esclavage, si nous parlons d’Afrique, c’est bien plus encore l’histoire du commerce arabe et musulman des esclaves africains.

pays arabo-musulmans                                               L’Histoire de l’esclavage enseignée à l’école dans esclavage image1_arts_310 Etats-Unisesclavage8 dans esclavage  Ce que l’on va enseigner, quelles que soient les bonnes intentions de M. Sarkozy, c’est l’histoire politiquement correcte de l’esclavage, , un mensonge d’auto-flagellation marxo-socialiste sur la culpabilité éternelle de l’Occident. Mais touche pas à mon Islam ! Il castre, il lapide, il démembre et il excise qui il lui plaît. »

L’Islam a réduit en esclavage autant d’Africains , que ceux transportés sur les continents américains. Et si ces derniers s’y comptent aujourd’hui par dizaines de millions, on cherche en vain les descendants des esclaves africains, pourtant plus nombreux, qui ont été exploités dans les pays musulmans, car ils y étaient massivement castrés et y mourraient comme des mouches de maladies et de privations.  d’après  Alain-Jean Mairet <-  lire l'article

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Parce que je suis un intellectuel musulman, un anthropologue qui défend depuis toujours le droit des personnes et qui combat les tabous de l’islam, je me sens missionné pour dénoncer ce drame de l’esclavage qui a contaminé tous les pays où l’islam a prospéré. A Brunei, au Yémen, dans les pays du Sahel, chez les Touaregs, en Libye, dans le Sud tunisien, en Egypte, en Arabie, en Mésopotamie, à Oman et Zanzibar, au Soudan ou à Djibouti, il n’est en effet pas un lieu gagné par l’islam où ne se soit jamais pratiqué le commerce d’esclaves. OAS_AD(‘Middle1′); Malek Chebel (anthropologue musulman)

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                                         esclaves_des_arabes

 Dans une enquête mondiale, l’anthropologue musulman révèle les pratiques d’asservissement dans le monde islamique et leur inquiétante persistance

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Mais où sont passé les noirs dans le monde musulman? 

Posons-nous  la question, ce que personne en dehors des spécialistes ne songe jamais à  faire, sur les descendants des “quantités effroyablement gigantesques d’Africains importés comme esclaves” dans le monde arabo-musulman pendant des siècles (quelque 17 millions en 3 siècles),

source Le ministère de la Vérité
Par Laurent Murawiec à Washington
Metula News Agency
18/05/8

«Lisez donc le livre de l’éminent historien qu’est Jacques Heers, “ Les négriers en terre d’Islam.”

3 Vous tomberez, le nez écrasé, sur quelques différences entre les deux trafics, quoique l’abomination du trafic d’esclave soit commune : l’esclavage a été pourchassé et aboli par l’Occident ; les idées de l’abolition et l’abolitionnisme elles-mêmes furent strictement et uniquement occidentales. on se trucida aux Etats-Unis pour savoir si le pays tolèrerait, ou pas, la continuation de l’esclavage sur le territoire national.

Le monde arabe et musulman  ne se posa pas de questions, il ne  suivit uniquement que contraint et forcé les idées d’abolition. L’esclavage a toujours joué un rôle économique moteur en Islam.

Aux Etats-Unis, au Brésil où en Colombie, la population noire s’élève à 12 % de la population totale, c’est le signe que les descendants d’esclaves ont fait souche : familles, enfants, descendance. Les négriers ont eu beau faire périr les esclaves capturés en Afrique, en nombre immense, une fois arrivés, même avec la séparation des familles par la vente aux enchères, les esclaves ont eu des enfants, qui, à leur tour, etc.

 Des millions,  d’Africains importés comme esclaves dans le monde arabo-musulman, en  est-il résulté une vaste population noire ? Que non !

On la verrait, mais on ne la voit pas. Est-ce l’effet de la tolérance musulmane ?    

 Non c’est parce qu’on les a castrés par millions !    

                                                       L’esclave noir en terre d’Islam était systématiquement émasculé. C’est pourquoi il y a relativement peu de « Noirs » dans le Golfe persique, en Egypte, etc., surtout en regard des quantités effroyablement gigantesques d’esclaves capturés en Afrique noire et traînés vers le Nord. De tout cela, puisqu’on enseignera l’histoire de l’esclavage, en parlera-t-on ?

Eh ! non, pardi ! Si l’on essayait, une levée de boucliers, un tollé, comme on dit, soulèverait instantanément les « chercheurs » de l’université française, qui vous traiteraient d’islamophobes, puisque l’histoire se doit de respecter les tabous auto érigés par des « historiens » chargés d’entériner les mythes, de confirmer les positions politiques bien en cours, et de protéger le politiquement correct des atteintes de la réalité.

extrait de l’ article publié le 18 mai, 2008 à 6:56

Quel que soit l’exploiteur, occidental ou arabo-musulman, l’esclavagisme est un crime contre l’humanité qu’il faut éradiquer du monde entier 

                                                     esclavage

- Pour un sursaut de Malek Chebel

« Aujourd’hui encore le constat demeure affligeant. Je regrette que de nombreux musulmans, arabes ou non, ne semblent éprouver de plaisir, hélas, qu’en accomplissant l’inverse de ce que recommande si clairement le Prophète, et s’emploient sans vergogne à répudier leurs femmes et à mettre en servitude leurs domestiques. Au Koweït comme au Qatar, en Arabie Saoudite ou à Dubaï, l’employeur a de puis longtemps remplacé le négrier. «Esclaves économiques», Philippins, Indiens, Malais, Bangladais se sont substitués aux anciens captifs d’Afrique, Habachis et Zandj. Au Maroc se pose aujourd’hui la question des domestiques, ces «petites bonnes» non rémunérées, corvéables à merci, qu’on réquisitionne jour et nuit, et que les autorités elles- mêmes évaluent à plus de 1 million. Que dire aussi des eunuques à La Mecque ! Oui, en 2007, des eunuques gardent toujours les lieux saints de l’islam !
Soyons clairs, je n’attaque ni un pays en particulier, ni l’islam en tant que religion. Mais son dévoiement, qui n’en finit pas de faire des ravages. Il faut que l’Islam retrouve sa vraie nature et rejoigne enfin les grandes civilisations libératrices. »

Anthropologue et spécialiste de l’islam, Malek Chebel est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages, dont le «Dictionnaire amoureux de l’islam» (Plon, 2004). En 2007, il a publié «l’Islam expliqué par Malek Chebel» (Perrin) et «Treize Contes du Coran et de l’islam» (Flammarion). Il publie aujourd’hui chez Fayard «l’Esclavage en terre d’Islam. Un tabou bien gardé».

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