Algérie: histoires à ne pas dire
Ce film qui sort sur nos écran le 27 février est réalisé par J-P Lledo, un Algérien d’origine à la fois juive, berbère et européenne, qui se considère partie prenante de l’Algérie indépendante, mais qui est aussi profondément déçu, à plusieurs titres, par l’évolution de son pays . Pour lui, l’Algérie « est devenue indépendante, mais n’a pas réussi à être fraternelle ».
« Algérie, histoires à ne pas dire », a été entièrement tourné en Algérie, mais son thème essentiel est l’Absent, celui qui n’est plus là et dont la mémoire même tend à disparaître. L’absence d’un chef de maquis probablement victime d’un règlement de comptes entre indépendantistes et dont la mort reste obscure, celle d’une femme qui a risqué sa vie pour l’indépendance algérienne mais qui est aujourd’hui déçue par l’islamisation de son pays, l’absence des Juifs qui ont dû quitter un pays dont ils constituaient l’une des plus anciennes populations, et l’absence de ces descendants d’immigrants espagnols d’Oran, qui entretenaient de bons rapports avec les Arabes et dont certains, pourtant, ont été victimes, à l’indépendance, de massacres aveugles.
Pour évoquer ces quatre absences, le film nous emmène successivement dans quatre régions d’Algérie, qui sont en même temps emblématiques de quatre moments-clés de la guerre d’indépendance. Dans chacune d’elles, un personnage revient sur son enfance avant 1962 ou cherche à reconstituer un épisode de ces années de guerre qui furent aussi les dernières de la colonisation française
Sources : critiques cinématographiques
Que cherche J-P Lledo en interrogeant ces quatre personnages ?
Il cherche, dans la mémoire des Algériens, ce qu’il reste de la cohabitation entre les Pieds-noirs et les Algériens d’origine berbéro-arabo-musulmane 45 ans après l’exode massif des Juifs et des Pieds-Noirs ? C’est bien ce qu’a tenté de trouver J-P Lledo et il l’a trouvé.
Voici ce que J-P Lledo dit de son film Les 4 histoires de ce nouveau film touchent à quelques tabous absolus de l’histoire algérienne, sur lesquels repose la légitimité du système politique qui s’est construit après l’indépendance. Temple bien gardé, l’histoire en est sans doute le dernier pilier. Et même s’il s’agit pour chacun des personnages principaux du film, d’abord d’une quête personnelle et de leur histoire qui prime toujours sur la grande histoire, il faut avoir conscience de leur courage.Cette interrogation entreprise avec mes personnages peut donc être considérée comme une tentative d’affronter la tâche qui attend les représentants de toutes les communautés du monde qui se sont fait la guerre, et notamment « les intellectuels » : revenir tôt ou tard, de façon critique, sur l’histoire de nos pères, sans animosité mais aussi sans oeillère, en cessant de voir la paille seulement dans l’oeil de l’autre.
Ces personnages en quête d’une vérité sur leur propre vie, reviennent sur leur enfance durant les années de guerre qui furent aussi les dernières décennies de la colonisation française.
En retournant vers leurs origines, d’est en ouest, de Skikda à Oran, du début à la fin de la guerre d’indépendance, ils reconstituent un portrait inédit de l’Absent.
Méfiance, peur et malheur, les relations intercommunautaires n’ont-elles pas été aussi attraction, respect, reconnaissance et souvenirs heureux ?
Malgré les discriminations et les dégâts du colonialisme, un nouveau corps fait d’emprunts mutuels n’avait-il pas commencé à se constituer, à l’insu même de ses différentes composantes ?
D’après le Blog de J-P Lledo
La douleur fantôme de l’amputation, chez ceux qui étaient partis comme chez ceux qui étaient restés, n’en révélait-elle pas la réalité ?
Une Algérie multiethnique, libre et fraternelle n’était-elle pas possible ?
Entre haines et fraternités, avec nos personnages nous refaisons le cheminement universel de la tragédie, lorsqu’aux protagonistes, le dénouement semble s’imposer.
Images du 5 juillet à Oran — Les deux communautés
Extraits du film
Aziz / Skikda (ex-Philippeville) / 20 août 1955
Né en 1949, enseignant en agronomie à Mostaganem, est originaire de Béni Malek, sur les hauteurs de Skikda, ex-Philippeville, épicentre d’une insurrection déclenchée par l’ALN, le 20 août 1955, qui cible principalement la population européenne. Lors de la répression de l’armée française, 23 hommes de sa famille, dont son père, disparaissent à jamais.
Mais Roger, le « colon » du coin, recueille plus de 80 femmes et enfants. Les Européens de Béni Malek ont été en effet épargnés par les insurgés. Et Aziz attribue cette exception à son oncle Lyazid, chef ALN local. Pour en avoir la confirmation, il retourne dans sa famille afin d’interroger les vieux.
Katiba / Alger / 1956/1957
Née en 1949, anime à la Radio d’État une émission sur la Mémoire, exaltant le nationalisme. Katiba accepte de revenir sur les traces de son enfance, et nous retournons avec elle dans la Casbah de ses ancêtres puis à Bal El Oued, où elle a grandi, et qui fut le grand quartier populaire pied-noir d’Alger. Blonde aux yeux bleus et habillée « à l’européenne », on la prend pour une Française ».
Cheïkh Raymond / Constantine / 22 juin 1961
Assassiné le 22 juin 1961 à Constantine, Raymond, chanteur juif de musique andalouse, est considéré comme un des grands Maîtres du genre. Il est pourtant absent des ondes depuis l’indépendance et d’un mur du Centre Ville où sont représentés 5 autres grands musiciens du malouf. Ses fans d’hier et d’aujourd’hui tiennent à lui rendre hommage.
Cette 3ème partie du film a été amputée de sa moitié, car suite aux annulations des 3 avant-premières en Algérie en juin 2007, le personnage principal a demandé de ne plus apparaître.
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Kheïreddine / Oran / 5 juillet 1962
Kheïreddine, né en 1976, metteur en scène de théâtre, prépare la pièce de Camus, Les Justes. De l’époque coloniale, il ne connaît que ce qui lui en a été dit à l’école. Pourtant il se rappelle aussi que dans sa famille, on lui a raconté que le jour même de l’indépendance, le 5 juillet 1962, on a tué des Européens. Kheïreddine se rend à Sidi El Houari, quartier pauvre de La Marine, où « Espagnols » et « Arabes » étaient presque tous frères de lait, avec l’espoir que ce quartier ait pu être une exception
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Hayet Ayad
D’origine algérienne, kabyle, née en Alsace, Hayet Ayad interprète les chants sacrés dans toutes les langues de l’Andalousie historique. Dans le film, son chant pur s’inscrit thématiquement et musicalement dans l’Andalousie, Andalousies rêvées, Andalousies sublimées, Andalousies ratées, Andalousies égorgées, Andalousies renaissantes. Sa voix d’alto exprime plus qu’elle n’interprète. Sans accompagnement, sans parole, improvisée, elle crie, berce, interpelle, invective, et réactive ce qui se joue pour les personnages, comme pour l’histoire. Entre nostalgie et violence, elle dit la douleur tout autant que la révolte face à l’échec, la séparation des trois communautés. Elle s’élève contre le destin. Elle panse les plaies. Elle dit ce que les personnages cachent par pudeur. Elle est la Terre qui demande des comptes au Ciel, la Mère au Père. Elle revendique tous ses enfants, et refuse qu’ils s’entretuent. Elle est Mère courage.
Sources : fiche de présentation du film à la Presse.
Le film a été interdit en Algérie. Pourquoi ?
Le cinéaste Lamine MERBAH fait partie de ceux qui refusent la diffusion de ce film, compte tenu, dit-il, de ce qu’il contient de vérités qui ternissent l’histoire de l’Algérie et sa révolution.
Car ce film présente des scènes qui montrent qu’Algériens, Chrétiens , Juifs vivaient en paix et en prospérité jusqu’en 1954 , quand survient la révolution qui leur gâche tout, évoquant clairement l’intégration
.En plus de ça Lamine MERBAH dit que le cinéaste a tenu à utiliser des cameramen et des enquêteurs algériens pour réussir à arracher des témoignages non anodins de certains moudjahidines algériens qui disent que les révolutionnaires algériens ont commis des crimes atroces contre les Pieds-noirs. Donnant ainsi l’image d’un terrorisme qui coule dans le sang des Algériens depuis la nuit des temps.
Voici le document d’où sont tirés ses propos. algriehistoirenepasdire3.doc
Jean-Pierre Lledo répond à Lamine MERBAH lledorpondmerbah.doc
Mais les censeurs ne font pas l’unanimité en Algérie même.
Voici la pétition et le texte des contestataires. Seront-il entendus ?
http://www.lapetition.com/sign1.cfm?numero=1527
Qu’en pensent les Pieds-Noirs
Je ne peux parler que des Oranais . J’espère que les autres Pieds-noirs donneront leur avis dans les commentaires du Blog .
Voici la vidéo que j’ai pu diffuser sur mes forums.
Sur cette vidéo, bien sûr, ils reconnaissent non seulement le lieu mais les anciens « copains »Chichi le danseur, Hamida, Charlemagne et d’autres Ce qui les a le plus émus c’est cette presque vielle femme qui se souvient des paroles de la chanson que toutes leurs mères chantaient : l’Emigrante.
http://www.commeaucinema.com/bandes-annonces=102810.html
Mais hélas eux ne sont pas prêts d’oublier et pardonner cette journée du 5 juillet 1962 qui a vu voler en éclat toutes leurs illusions sur l’autre communauté.
Un de mes anciens élèves m’a écrit une bien émouvante missive en réponse à un de mes messages.
Je crois qu’elle résume assez bien le sentiment qui prévaut parmi eux. On peut le regretter mais je le comprends oh! combien.
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40 commentaires »
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Il faut dire de ce travail de Lledo qu’il est courageux et honnête: pour lui, partisan d’une Algérie indépendante, accueillant et protégeant tous ses enfants, apportant à chacun en fonction de ses besoins dans l’équité et la probité, quel constat aujourd’hui!
Un pays qui enlève et égorge une fraction (les Européens) pour les chasser définitivement, qui installe un clan islamo-arabe(comme le qualifient les kabyles, asservis)accaparant les ressources considérables du pétrole saharien, et condamne les jeunes à s’expatrier ou à tenter de fuir dans des barques de fortune…
Comme dans toute dictature, le pouvoir utilise l’histoire à des fins manipulatoires: à ce peuple désabusé, donnons-lui des héros et des causes sacrées. Il songera moins au prix de la pomme de terre.
Et là encore, JP Lledo fait tout faux, en décrivant une histoire complexe, où les héros sont de simples assassins, et où l’on massacre par fanatisme.
Donc on l’interdit de projection, on le met à l’index.
Pouvons-nous lui donner un conseil: allez voir Stora, il sait comment obtenir les bonnes grâces du pouvoir, lui. Il devrait pouvoir vous aider…
Bonjour.
Petit-fils de pieds noir je voulais me renseigner si ce film m’apprendrait sur la communauté « pieds-noirs » comme l’excellent documentaire de Gilles Perez
Merci et félicitations pour ce site
vous etes beaucoup plus que des racistes innée vous representeZ un concentrer de haine de croisés dilué dans une eau de perversitée vous vous soulevers contre l’independences de l’algerie coloniale brutalisée par 132 ans de massacres et de spoliations menstrueuses, par un code de l’indigenat qui été plus barbare que toute la politique nazie ,hitler n’etait qu’un bon eleve dans une ecole qu’ete l’europe blanche orgueuilleuse et pretensieuse celle des lumieres pour les blancs et des teneberes pour le reste l arabe le kabyle le noir(musulman ,,,etc
venus avec un esprit a la fois de colon et missionnaires illuminés par l’amour d’un christ sacrifié pour vos pechés eternels .
vous etes la source de tout le malheurs de l’afrique et del’orient
a voir les generations de colonisés ignorant , naive , desabuser ,qui vous ont cottoyés on a envie de pleurer de tristesse ou de rage !! et vous osez parler de vos souvenirs de pick nick malsaint de cocu ,honte a vous a ceux qui ecoutent vos caprices de fin de vie mais dites vous que ce qu’ont sement dans la vie on le recoltera ailleurs et je pense que ca commence deja dans les EHPAD.
vous refuser la sensure d’une bd pleine de racisme et de prejugers vous defendez l’esprit coloniale et ses reussites industrielles ses beaux tramway et immeubles exculisvement pour l’europeens .
liser aimé cesair et leopold weis asad
et dite vous qu avec tout les problemes de l’algerie et du monde musulman on se relevra car la verité surmonte toujour le mensonge toujour et pour votre pretention faite un tour dans les musées de paris vous verez les momies des grand pharaons
et si vous etes si soucieux de liberté et d’humanité il ya un pays ou on tues des enfants des femmes des viellard chaque jours chaque semaine depuis 1948 dans un esprit d’elus de dieu ayant le droit de transgresser les resolutions de onu depuis 48 mais une chose soulage c’est que meme apres un siecle et 30 de barbarie eldjazair est libre est le restera meme siiiiiii.
leopold weis dit :
L’Islam comble les lacunes de l’Ancien et du Nouveau Testament : il transcende toute appartenance tribale ou nationale et s’adresse à l’homme total. Il n’y a pas à violenter le corps au nom de l’âme mais seulement à réguler les appétits du corps selon les exigences de la conscience morale. Le rationalisme pragmatique de l’Islam fait que la discipline qui s’impose au croyant est à la fois matérielle et spirituelle, individuelle et sociale, morale et politique.
vie et survivre malgrer toutes les injustices avec l’aide de dieu
Monsieur,
Je vous fais remarquer que le réalisateur de ce film n’est pas un Pieds-noirs mais un Algérien et que le film a été financé par l’Etat Algérien alors que viennent faire ces insultes aux Pieds-noirs qui ne sont pas responsables de l’interdit du film en Algérie et vont le voir en France
J.B.
Monsieur Léopold Weis Asad
Vous commencez très fort dans vos propos en nous disant à nous Européens (certainement) que nous sommes « un concentré de haine ». Je crois que vous nous prêtez des sentiments qui ne correspondent pas vraiment à la réalité. Il est vrai que les hommes ont souvent le défaut de projeter sur autrui leurs propres lacunes, fautes et turpitudes. C’est tellement plus confortable. Vous n’êtes pas contraint de me croire mais je ne suis pas un non-raciste d’opérette et j’ai déjà invité plusieurs fois des maghrébins à ma table. Est-ce que de votre côté cela vous est déjà arrivé ? Est-ce que vous vous êtes promené dans nos villes où l’on trouve assez fréquemment des couples mixtes aux origines différentes ? Pouvez-vous faire le même constat dans un pays comme l’Algérie ?
Je crois beaucoup au sens de l’histoire et au contexte historique. En 1830, il était inéluctable que l’Algérie soit envahie. Si la France ne l’avait pas réalisé, d’autre pays, comme l’Angleterre, l’Allemagne, voire l’Italie l’aurait entrepris. Dois-je vous rappeler, qu’avant la conquête française, Alger, dominé par les Turcs, a déjà été bombardé par les États-Unis, l’Angleterre et même les Pays-Bas, si j’ai bonne mémoire. Cette conquête, à l’ère coloniale de l’époque, a été malheureusement des plus barbares, comme toutes les guerres. C’est un fait historique incontestable. Sans nous défausser de nos fautes, cela a déjà été probablement le cas quand, au VIIe siècle, les armées musulmanes d’Arabie sont venues convertir l’Algérie au fil de l’épée. J’ose vous rappeler que le pays était alors chrétien et juif. Le peuple berbère s’y était opposé, comme toujours, avec courage.
Par contre, annoncer qu’il y a eu 132 ans de massacres est un peu cavalier car autrement comment expliquer que la population autochtone soit passée de 2 millions à près d’une dizaine de millions personnes. Votre comparaison avec Hitler, qui a procédé au véritable génocide des juifs, n’a aucun sens. Vous dénoncez en toute logique le code de l’indigénat. Les maghrébins devaient être considérés comme des français à part entière ou l’Algérie devenir indépendante. L’Histoire a opté pour la deuxième solution, sans doute avec raison. Comment imaginer une Assemblée nationale, dans le contexte de l’époque, où il y aurait eu plus d’un tiers de députés musulmans ? Deux peuples pour un seul État ne va pas sans poser de problèmes. Mais en tant que pied-noir, et au risque de vous étonner, ce n’est pas l’indépendance de l’Algérie que je conteste mais la forme de la lutte choisie par le FLN et ses prises de position après l’indépendance.
L’Europe a-t-elle été la source de tous les malheurs de l’Afrique et de l’Orient ? Vaste débat. Je note toutefois que depuis que nous sommes partis, les choses ne sont pas aussi faciles que les indépendantistes l’avaient annoncé. Pour preuve, les demandes incessantes de visa pour venir vivre dans des pays européens coupables de tous les crimes. Cela va faire bientôt 50 ans que nous sommes partis et nous serions toujours responsables de vos difficultés ! Il serait temps de devenir adulte.
Je ne crois pas non plus que l’esprit colonial, pervers par nature, soit aujourd’hui défendu par une majorité de Français. Tout comme l’esclavage allègrement pratiqué par certains pays arabes jusque dans les années soixante. Ce que nous voulons souligner, c’est les quelques côtés positifs de la colonisation. Mais bien sûr qu’ils existent ! Autrement, vous vous seriez empressés de détruire tout ce que nous vous avons laissé, comme les routes, les hôpitaux, les ports, les écoles… Quant aux tramways, étaient-ils réservés aux seuls européens ? Là encore, permettez-moi de m’insurger. Il suffit pour cela d’étudier les circonstances de la mort de l’instituteur Monnerot, abattu par le FLN sur une ligne de transport qui appartenait d’ailleurs à un maghrébin. Lui et sa femme étaient les seuls Européens dans le car. Et oui, nous avons tous des zones d’ombre. Il n’y a pas d’un côté le gentil maghrébin et de l’autre le méchant blanc. Je me vois toujours, et je n’avais pas encore cinq ans, accompagnant ma mère qui rendait visite à une musulmane, amie de la famille. Pour mon plus grand malheur, elle était mourante, et elle était soignée dans un HÔPITAL FRANÇAIS. C’était aussi cela l’Algérie de la conquête.
Quant à Israël, je vais avoir du mal à entrer dans le débat car il faudrait tout un livre pour bien s’expliquer. Je dirais tout de même que vous êtes hors sujet puisqu’il ne s’agit pas vraiment d’un problème colonial. Dites-moi, dans ce pays qui colonise qui ? La présence des juifs date bien de plus de 2000 ans sur cette terre. Sans entrer vraiment dans les détails, laissez-moi souligner que les musulmans ne sont pas toujours soucieux de « liberté et d’humanité ». Est-ce que les attentats aveugles du FLN, comme ceux du Hamas, ont fait, ou font la différence entre les vieillards, les femmes et les enfants ?
Pour clore mon billet précédent…
Quant à « l’Islam qui comble les lacunes de l’Ancien et du Nouveau Testament » pourquoi pas après tout ! Je respecte vos croyances. Mais je n’ai jamais lu, nulle part, sur les Évangiles que les esclaves pouvaient être un butin de guerre légitime ; que la femme était inférieure à l’homme ; que l’apostasie devait être durement châtiée… Permettez-moi de préférer les textes fondateurs à nos sociétés, plutôt que les vôtres. D’autant plus que nos croyances d’Européens ont abouti dans la plupart des cas à une démocratie laïque, où toutes les religions sont respectées. Est-ce bien le cas de la plupart des pays musulmans ?
Je viens de lire dans un courrier adressé à M’dame (bonsoirmadame.doc) la phrase suivante :
« Vous [les musulmans] n’étiez peut-être pas responsables (le premier responsable c’est l’État et Katz), mais vous chantiez… »
et je ne peux m’empêcher de réagir.
Non ce ne sont pas l’État français et Katz les premiers responsables. Le premier responsable est celui qui tient le couteau. C’est-à-dire le FLN. Il ne faut jamais confondre les criminels et leurs complices – même si ces derniers ont une lourde responsabilité.
J’ai trouvé l’ensemble du texte très pertinent par ailleurs.
salut j p peut tu me dire s’il ton film que j’ai vu aniçe tu la fais en cassette comment je peut me le procurer amitiers sinçeres antoine
je souhaiterais acquérir le dvd si toutefois il existe
et encore bravo pour votre courage
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